[Accepté] En proie à une guerre intérieure.

Le soleil se couchait sur les désertiques Landes de Sidimote, et je profitais de ce moment pour admirer le coucher de soleil, en partie caché par la tour de Brakmar. Cette journée avait été dure, la guerre entre les deux cités ne cessait de s'intensifier.. Je consultais ma fidèle tortue pour m'assurer qu'elle avait endurée sans péril les dernières agressions dont j'avais été victime, sortant vainqueur..

Des vieux souvenirs de ma jeunesse me revenaient par vagues, entre autres mon douzième hiver, date où j'avais reçu mon premier coffre, symbole d'une future fortune chez les Enutrofs. Le soleil continuait sa lente et douce chute, et je décidais de me diriger vers mon humble demeure, située dans la lointaine contrée de Sufokia. Je passais par la Forêt des Abraknydes, lieu sombre où le Chêne Mou avait élu domicile, laissant pour morts beaucoup d'aventuriers se risquant à l'exploration dans cette zone. Je m'apprêtais à sortir de la forêt alors que j'entendis une voix derrière moi, comme agonisante.. Je me retournai alors, lentement, prudemment, et j'aperçus un vieux Xelor, allongé sur les racines d'un arbre, en proie à une mort certaine. Il parlait seul, vraisemblablement, et je ne compris que quelques bribes de ce qu'il disait.. Il semblait parler un langage ancien, qu'on m'avait autrefois enseigné à l'école du village..

" Dans la guerre, la paix réside "

Après cette étrange phrase, le vieux sage, vêtu de haillons, s'éteignit, lentement, alors que le Soleil passait le cap de la Mer Du Sud, laissant la forêt des Abraknydes dans l'ombre la plus totale. Après avoir creusé une tombe au sage et imploré le Dieu Xelor de ne pas laisser son âme errer dans les cimetières, je me remettais en route, la phrase du macchabée se répétant, tel l'écho du cri du Craqueleur Légendaire dans ses montagnes, encore et encore dans ma tête. Tout en me ressassant cette phrase, je traversais le pont menant à Sufokia, ne remarquant pas deux ombres me suivant. La fatigue me tenait alors que j'arrivais chez moi. Mon salon était plutôt lugubre à cette heure ci, et je décidai d'aller au lit sans plus tarder, tout en me remémorant les phrases du Xelor. Ma nuit fut agitée et je dormis mal, rêvant sans cesse de combats épiques amenant à la destruction du monde.
Je me réveillai en sursaut, ayant entendu ma porte craquer. Je sentais mon cœur vieux de 137 ans battre à tout rompre, et je sortais de son refuge mon plus beau marteau de combat, par prudence. Je ne m'étais pas trompé, deux Bontariens avaient pénétré mon domicile, surement envoyés par Thomas Sacre lui même.. Leurs ailes brillaient dans la pénombre et je décidais de passer à l'action, les devinant peu aguerris, du fait qu'aucune cicatrice ne balafrait leur jeune visage. *S'ensuit une scène de combat où Djahn massacre sans pitié ses deux adversaires*. M'asseyant sur une chaise d'osier enchanté tout en me reposant le coude sur le marteau désormais souillé, je compris, après quelques minutes de réflexion la signification de la phrase du vieux sage..
La paix arrivera quand tout les adversaires seront morts.

Djahn, en quelques mots ?
Enutrof de niveau 92, destiné à la guerre inter-cités, revêtant des objets conférant de la portée et des dommages, Djahn est un personnage polyvalent, aussi bien en PvP qu'en PvM. Souvent accompagné de sa guilde, Monochrome - dont il est le meneur, dans des combats plus ou moins épiques, Djahn saura se montrer utile dans la capacité à ralentir l'avancée de l'adversaire sur les alliés.

Le clan, un intérêt particulier.
J'aimerais, en tant que joueur, aborder une nouvelle façon de voir le jeu, et ce clan correspond à l'idéal que je me fait d'une fondation à bases solides permettant d'ouvrir les portes d'un autre Dofus.

En espérant que cette présentation vous plaira.

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