[Acceptée] Candidature d'une petite sacrieuse

Au fait (J'ai entendu que ça s'écrivait comme ceci ^^) , je n'ai pas vu un choix de temple !?

Pour l'instant j'hésite encore..

J'ai corriger pas mal de fautes

Aaargh mes yeux

Sinon j'ai bien aimé ce RP, et tout à été un peu dit !
Pour.

Au temps pour moi.

[Mode Flood ON]On dit "autant pour moi"[Mode Flood OFF]

Oui parce qu'y'a des gens qui disent ça et d'autres qui disent autre chose, donc les deux se défendentetblablabla....
Déjà j'ai pas dit qu'on devait forcément mettre ça mais qu'on pouvait mettre les deux
C'est toi le prévisible.

Je m'en tiens à l'étymologie de l'expression, donc je garde "au temps pour moi" =)

Ah bah bravo Mishra, t'es fier ?! ^^

J'ai hésité à lancer une pique là dessus aussi mais j'me suis ravisée au dernier moment, sentant que ça allait partir comme ça. x)

Résumé des votes.

A l'unanimité (soit Huit Pour et un "ça mérite pas un Contre" de la part de Nhoobie ), tu es bien entendu acceptée parmi nous.

Nous t'invitons à lire (ou relire) notre Constitution pour te renseigner sur les épreuves que tu as à passer.

La première consistera à la chose suivante :

I - Ensorceler les examinateurs en rédigeant une histoire, un poème.

Bienvenue, et bonne chance !

Merci à tous !

Let's go \o/

Bienvenue dans l'enfer des examens ^^.

Comme chaque été depuis 4 ans, j’espérais.

Ayant l’âge de se présenter au maître du temple, une jeune fille attendait impatiemment, comme les 14 autres jeunes présents, son appel.

Représentant de la Déesse Sacrieur dans notre monde, le maître désignait qui pouvait entrer dans la vie adulte, c’est-à-dire prendre ses armes, et par là, avoir une position active dans le clan ; puis, selon ses compétences, œuvrer pour le bien de la communauté.

Il y avait plusieurs castes, qui vivaient en parfaite harmonie, leur vie étant basée sur l’échange et le bien être collectif.

Les Guerriers s’occupaient de protéger la communauté, contre les différentes espèces animales, mais aussi contre les brigands, pirates, et autres hors-la-loi.

En tant que Chasseur-Récolteur, on avait la tâche de pourvoir les familles en céréales, viandes ou poissons, selon la saison et l’endroit où le camp était établit.

Enfin, plutôt qu’un camp, c’était un village nomade ; grâce aux Bâtisseurs, les maisons pouvaient être transportées au fil des déplacements annuels. C’est eux également qui élaboraient les armes, les outils, et autres objets du quotidien.

Mais revenons au temple, où la cérémonie continuait.

Aujourd’hui, seule Anchois fut choisit.

Sa famille d’origine, ainsi que tout le village se réunirent pour saluer son départ dans la forêt, et l’encourager pour ce qui allait suivre. Car on revient transformé de cette étape, ou on ne revient pas. C’est ce qu’allait découvrir la jeune sacrieuse lors de sa première nuit.



Le maître lui remit plusieurs paquets, qu’elle ouvrira lorsqu’elle aura trouvé un lieu pour dormir. Et chacun lui fit ses adieux. C’est le cœur gros, emplit de fierté et d’appréhension, qu’elle se mit en route vers la forêt maléfique.


Pour sa première nuit, Anchois choisit de la passer dans un arbre, à l’abri des créatures de la forêt. Après s’être ravitaillée, elle ouvrit les 4 paquets remit par le maître. Dans le premier, elle trouva un peu de terre, dans le second, une capsule contenant de l’eau, dans le troisième il y avait un petit brasero, et dans le dernier, une capsule en verre vide. Elle n’en comprit pas l’utilité, mais les garda précieusement, si le maître les lui avait donnés, c’est qu’il y avait une bonne raison.

Contemplant les étoiles depuis quelques heures déjà, la tête ailleurs, Anchois se redressa assez vite, elle se sentait soudainement épiée. Gardant son calme, maîtrisant sa respiration, elle attendit, l’ouïe aux aguets. Rien ne vint.
Se retournant alors pour reprendre sa méditation, elle le vit. Stupeur et tremblements : c’était le dragon le plus grand et majestueux qu’elle n’ait jamais vu (bien qu’elle n’en ait effectivement jamais vu, sauf en peinture, dans les livres du temple). Les naseaux dilatés, une légère fumée en sortait, emplissant l’air ambiant d’une odeur de soufre ; le museau pointé droit sur elle, les yeux aux paupières verticales et aux pupilles en croissant de lune braqués sur les siens. Anchois sentit une bouffée de peur s’emparer d’elle, suivit d’une crainte respectueuse quand le dragon s’adressa à elle, non pas en parole, mais en pensée.

Dragon : Ma fille, on me nomme Imphraït-Nymphu, mais ça, tu le sais déjà. Ce que je vais t’apprendre va te bouleverser, mais c’est indispensable à la survie de tout ton clan. Dans le monde existent des œufs de dragons particuliers. Ils sont très puissants, et apportent à leur protecteur une vie quasi-immortelle. Beaucoup de guerriers les convoitent, beaucoup trop de créatures malfaisantes les veulent en leurs possessions …

Anchois s’endormit sans s’en rendre compte, le chant mélodieux de la dragonne résonnant dans sa tête, comme une douce berceuse.

La jeune sacrieuse s’éveilla sur l’herbe tendre dans la lumière du matin, elle se trouvait à l’orée de la forêt; au sud, une route s’étirait d’est en ouest ; au-delà moutonnaient des collines basses. De la nuit passée, elle ne gardait que peu de souvenirs, sauf que la jeune femme sentait désormais une présence en elle, encore endormit.

Alors qu’elle commençait à rassembler ses affaires, une voix caverneuse l’interpella :

La voix : He là ! Si tu bouges, tu auras l'insigne privilège de goûter au tranchant de ma lame.

Rassemblant son courage, Anchois prit ce qui lui tombait sous la main pour se défendre et attaquer l’importun. C’était les paquets du maître. La capsule vide lui donna la précision et la vitesse, le brasero cloua l’adversaire sur place, et la terre le plia en deux par sa force de frappe.

Et l’eau servit à désaltérer la sacrieuse après ce soudain effort.

Anchois : On a pas idée d’attaquer les honnêtes gens de si bon matin !

L’individu releva la tête, révéla des dents blanches dans un sourire arrogant. C’était un disciple du mystérieux dieu Sram. Quand leurs yeux se rencontrèrent, ils surent qu’un lien intangible venait de se créer.

Il s’appelait Zak-horm et devint mon Frère.

Joli récit.

Stupeur et tremblements [...]

Le récit n'est pas mauvais, bien que je ne comprenne pas toutes tes intentions à travers cette histoire.

Quelques petites incohérences m'ont un peu gênées à la lecture, mais rien de bien grave.

Le maître lui remit plusieurs paquets, qu’elle ouvrira lorsqu’elle aura trouvé un lieu pour dormir.

encore endormit

une vie quasi-immortelle

Plutôt content du boulot fourni

Pas de réponse depuis le 5 Octolliard. Poursuite des épreuves ou abandon ?

Concrètement, personne n'a validé, mais je connais la ch'tite, elle a pas l'intention d'abandonner.

Oui, oui, poursuivons, poursuivons !!! J'attendais simplement patiemment la validation de la 1ère épreuve.

Lorsque la Ière épreuve sera validée, pourriez vous me donner vos heures approximatives de connection sur Dofus, afin de pouvoir m'organiser pour la IIème épreuve ? (Ayant moi même des heures de connections peu évidentes dues à mon travail)

Suite au modification du système de recrutement, tu es dans l'obligation de remplir 4 épreuves, dans l'ordre de ton choix pour pouvoir accéder au rang de Fëa'Prenthy.

I - Ensorceler les examinateurs en rédigeant une histoire, un poème.
II - Eliminer le plus de Bworks possible, ou bien inventer des répliques à balancer contre les disciples du langage Bwork. Les Bworks sont le mal. Les occire ? C'est le bien.
III - Réussir un test posé par l'un des membres du clan concernant le fonctionnement et l'histoire des Fëa'Lah'Kart.
IV - Réussir à se confectionner soi-même son uniforme de mercenaire.

Ayant déjà accompli la première épreuve, il t'en reste donc trois à réaliser.

Le professeur Mang La'Thoukhru, docteur ès linguistique exotique, spécialisé en bworkisme et autres kevinisme, s'avance vers sa chaire. Silencieux, la démarche vive, le regard perçant, ce cours ne va pas être d'la tarte.

- Allons ! Allons ! Du calme, s'il-vous-plaît ! Mesdemoiselles, messieurs, assoyez-vous, il y a de la place pour tout le monde. Bien, aujourd'hui, le thème que nous allons aborder est notre créature indigeste et horripilante préférée, j'ai nommé Le Bwork.

La salle s'emplit de cris, hurlements, injures, mais aussi de bruits suspects, laissant deviner que certains n'ont pas réussi à garder leurs déjeuners dans l'estomac.
Faisant fi de ce brouhaha, le professeur continue :

- Nous allons donc voir quelques situations concrètes, les commenter, et je vous indiquerais comment y faire face.

Situation n°1 :

- Dans ce cas-là, nous pouvons imaginer que répondre au bwork que nous n'avons pas compris sa demande peut avoir une conséquence bénéfique sur la suite de l'échange verbal. Il n'en est rien, nous le savons tous. Afin de lui clouer définitivement le groin, je vous propose de lui répondre non pas en amaknéen, mais dans une langue qu'il ne comprendra pas.


- En conséquence de quoi, une bataille acharnée aura lieu dans le misérable cervelet de notre "ami", qui se finira par son autodestruction.

Situation n°2 :

- Remarquez la politesse exagérée du bwork. Le bwork est arrogant, imbu de sa personne, et se prend pour le centre du monde. Il faut donc une réaction à la hauteur de sa magnificence :



- Oui, c'est petit, mais tellement jouissif !

Situation n°3 :

- Le sujet veut procéder à un échange. Ses propos :


- Vouloir expliquer au bwork la différence entre sa et ça est une chose impossible. Un seul homme a trouvé. Voici sa réponse :



- Avec ça, c'est garantie, il ne reviendra pas.

Applaudissement général, c'est sur cette ovation que le professeur s'en va.

- Merci de votre attention, au revoir.

EXPLDR